"Joyful" by Anne Boland
Forest - Bruxelles
ressemble plus à rien, les couleurs fusent entre elles, mes vêtements sont
dévastés et il n’est pas rare que je doive essuyer une tache de peinture sur ma
joue. La tension se relâche et je ressens un grand coup de fatigue. Une journée
s’achève, une autre attend déjà. Et moi, je continue, avec la même envie :
peindre le monde tel qu’il bouge, tel qu’il vit, tel que je le sens.
« Je ne peins pas pour figer les choses, je
peins pour qu’elles continuent de respirer. »